Les Jeunes Socialistes refusent la suppression du régime étudiant de sécurité sociale

Publié le 12/10/2017 - 14:12
Mis à jour le 12/10/2017 - 14:36

Après l’annonce du gouvernement de la suppression du régime étudiant de sécurité sociale pour l’intégrer au régime général, les jeunes socialistes expriment le refus de cette mesure ce jeudi 12 octobre 2017. Depuis 1972, la LMDE (mutuelle des étudiants) avait la gestion de la sécurité sociale des étudiants répartie sur des mutuelles régionales. Le basculement devrait s’effectuer en septembre 2018.

 ©
©

"Face aux menaces renouvelées mardi matin du gouvernement contre le régime étudiant de sécurité sociale (RESS), les Jeunes Socialistes réaffirment avec force leur attachement à ce régime essentiel à l’autonomie et à la santé des jeunes", expliquent Les Jeunes socialistes.

Pour le mouvement, le gouvernement est "déconnecté des réalités de la jeunesse (…) A l’heure où près d’un.e jeune sur trois renonce à des soins, et où plus d’un.e jeune sur cinq vit sous le seuil de pauvreté, l’existence d’un dispositif spécifique pour les jeunes est primordiale".

Le régime étudiant de sécurité social permet "de développer des actions d’éducation au système de soins (…) il est un outil essentiel pour conduire des actions de prévention santé adaptées au public jeune (prévention SIDA, dépistage, prévention des addictions…), dispensées par les pairs", selon les Jeunes socialistes.

Le mouvement s'inquiète notamment de "l'éparpillement des étudiant.e.s dans les différents régimes existants, en fonction des activités de leurs parents". Ils appellent à "l'unification du régime en une seule organisation dirigée par les jeunes".

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Santé

Les hôpitaux publics appellent à “prioriser” la Santé et attendent un ministre

L’instabilité politique est "dommageable" aux hôpitaux, dans une période où l’exécutif travaille normalement sur le futur budget de la Sécu, et la Santé doit être une "priorité" de la rentrée, a déclaré mercredi 24 juillet 2024 le président de la Fédération hospitalière de France, appelant à nommer un ministre "rapidement".

Des congés menstruels pour "améliorer la qualité de vie au travail"

Alors qu’aujourd’hui, en France, 1 personne menstruée sur 2 déclare souffrir de dysménorrhée (règles douloureuses) et 1 personne menstruée sur 10 est atteinte d’endométriose (maladie chronique), la CGT propose de "lever le tabou" des règles douloureuses et réclame "le congé menstruel pour les personnes menstruées qui en ont besoin" pour les personnes travaillant à la Ville de Besançon, au CCAS et à Grand Besançon Métropole.   

Baignade : l’ARS fait le point sur les risques et la qualité des eaux en Bourgogne Franche-Comté

Alors que les chaleurs sont de retour en Bourgogne Franche-Comté et que les vacances d'été ont commencé, l'Agence régionale de santé de Bourgogne Franche-Comté met en garde la population contre les risques de baignades dans des zones non surveillées et sur la qualité de l'eau. Tout ce qu'il faut savoir en cet été 2024.

L’Université de Franche-Comté recherche des patients standardisés pour les examens de médecine

Afin d’aider les étudiants en médecine à développer leurs capacités cliniques et relationnelles, l’université de France-Comté réitère sa recherche de volontaires afin de jouer le rôle de patients standardisés lors des examens des étudiants en 4e, 5e et 6e année de médecine.

La chronobiologie en nutrition analysée par Valentine Caput, diététicienne bisontine

L'OEIL DE LA DIET' • Une toute récente étude de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) de mars 2024, vient d'établir un rapport établissant un lien entre nutrition et chronobiologie. Notre diététicienne bisontine, Valentine Caput, commente ces résultats.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 28.21
couvert
le 27/07 à 12h00
Vent
2.81 m/s
Pression
1015 hPa
Humidité
54 %