S’il précise que "seuls le RN et le PS ne m’ont pas sollicité", Nicolas Bodin, "fort de (ses) convictions", répond non aux demandes de Ludovic Fagaut, Laurent Croizier et Eric Delabrousse.
Citant l’actualité nationale comme exemple de la difficulté du "ni droite ni gauche", à l’image de Bruno Retailleau qui appelait dimanche dernier à "faire battre la candidate socialiste face à un candidat RN lors de la législative partielle", Nicolas Bodin dénonce des "débauchages individuels" qui "se révèlent souvent préjudiciables dans la gestion quotidienne d’une collectivité".
Il réaffirme ainsi ne pas croire "au dépassement du clivage entre Gauche et Droite" dont les valeurs "ne sont pas les mêmes" mais rappelle que "les deux sont indispensables à l’équilibre de notre société et de notre démocratie".
"Je demeure, pour ma part, de Gauche quoiqu’il m’en coûte et vous pouvez continuer à compter sur mon expression libre sur l’actualité nationale que les dossiers municipaux et intercommunaux" conclut-il.