Cette dernière a répondu qu'un examen de la gestion de la commune de Besançon avait été ouvert le 29 avril 2011.
La réalisation de la cuisine centrale a coûté six millions d'euros et n'a jamais pu être mise en fonctionnement.
Publié le 13/07/2011 - 14:57
Mis à jour le 18/04/2019 - 10:44
En réponse à une saisie de Jean Rosselot, conseiller municipal UMP de Besançon, le préfet a annoncé qu’il avait transmis une demande d’examen du dossier de la cuisine centrale de la Ville de Besançon à la chambre régionale des comptes.
Cette dernière a répondu qu'un examen de la gestion de la commune de Besançon avait été ouvert le 29 avril 2011.
La réalisation de la cuisine centrale a coûté six millions d'euros et n'a jamais pu être mise en fonctionnement.
Rebondissement, ce 30 mai 2017, dans la cadre du contentieux relatif à la cuisine centrale de Besançon. La cour administrative d’Appel de Nancy confirme le préjudice subi par la ville de Besançon.
5.500 repas « cuisinés » sortent tous les jours de la cuisine municipale « Les petits plats » de Besançon : une prouesse renouvelée chaque jour. Et jamais dans l’année le même menu est proposé deux fois !
Le tribunal administratif de Besançon a rendu son jugement ce jeudi 12 mai 2016 concernant l’affaire de la cuisine centrale. En 2010, la collectivité avait déposé une requête auprès de la justice contre les entreprises, en charge du chantier, qui l’avait réalisé en multipliant les erreurs et avaient rendu ce projet de cuisine centrale impossible. La municipalité va être indeminisée à hauteur de 6 011 899 euros.
Après plusieurs avaries et de nombreuses péripéties, y compris politiques et judiciaires, la cuisine centrale qui devait livrer ses premiers repas dans les 67 restaurants scolaires de la ville en septembre 2009 a finalement sa première rentrée scolaire ce mardi 3 septembre 2013. La ville de Besançon s’estime victime d’un architecte peu sérieux et compte bien devant la justice se faire rembourser au moins 5 millions d’euros…
Le 14 octobre 2004, le conseil municipal de Besançon actait la construction d’une « cuisine centrale » pour la restauration scolaire des petits bisontins. Oui, mais voilà, le premier projet avec ses « Césars« , sortes de figidaires innovants mobiles suspendus au plafond (pour permettre aux cuisiners de travailler à temprature ambiante) n’a jamais vu le jour. « Nous avons été victimes d’un architecte qui depuis a été radié de l’ordre des architectes et qui aujourd’hui se trouve en Malaisie » explique Jean-Louis Fousseret. La Ville a porté l’affaire devant le tribunal administratif et espère, à minima, récupérer 5 millions d’euros sans compter les dommages-intérêts pour le préjudice subi.
Dans un courrier adressé au préfet, le conseiller municipal d’opposition demande au préfet de soumettre à la Chambre régionale des comptes le problème de la cuisine centrale qui a coûté plusieurs millions d’euros sans jamais servir le moindre repas.
Dans un communiqué du 7 février 2023, le président du groupe Besançon maintenant au conseil municipal Ludovic Fagaut s’inquiète pour l’avenir de l’un des magasins les plus anciens de la ville de Besançon, les Galeries Lafayette.
La maire de Besançon Anne Vignot a twitté ce mardi 7 février vouloir proposer au prochain conseil municipal une "aide exceptionnelle" afin de venir en aide aux victimes des tremblements de terre de Turquie et de Syrie.
Le préfet du Doubs, Jean-François Colombet, la maire de Besançon Anne Vignot et le député du Doubs Laurent Croizier se sont entretenus ce lundi 6 février à midi en visioconférence avec le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur pour évoquer la possibilité d’ouvrir un commissariat de secteur dans le quartier Planoise.
Le compte à rebours est lancé : l’inflammable projet de réforme des retraites arrive lundi devant l'Assemblée nationale pour deux semaines à haut risque, sous la pression des opposants qui organisent deux nouvelles journées de mobilisation.
PUBLI-INFO • À quoi sert la Région ? Peu savent répondre. Et pourtant, la Région est présente dans le quotidien de chaque Bourguignon-Franc-Comtois… La Région souhaite faire (re)connaître son action, en lançant une information mensuelle, dans la presse quotidienne régionale essentiellement, qui développera au fil des mois une mission spécifique. Ce mois de février 2023, focus sur l'agriculture...
Dans un communiqué de la Ville de Besançon du 3 février, les élu(e)s de gauche et écologistes des groupes de la majorité bisontine apportent leur soutien à la mobilisation politique, citoyenne et syndicale pour que le gouvernement renonce à sa réforme des retraites.
La Première ministre, invitée ce jeudi 2 février sur France 2, a répondu aux questions sur la réforme des retraites, qu’elle juge "indispensable" malgré l'opposition d'une majorité de Français à cette réforme.
Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Elisabeth Borne s'expliquera jeudi 2 février sur France 2 sur le sens de son projet, qu'elle défend comme "juste" même si elle demande un "effort", autant que sur sa stratégie.
Après avoir reçu des plaintes de la part de riverains, le président du groupe Besançon Maintenant dénonce publiquement dans un communiqué du 27 janvier 2023 les conséquences "néfastes et inattendues" de la modification du plan de circulation aux abords des avenues de Montrapon et Léo Lagrange.
Après une forte mobilisation contre la réforme des retraites le jeudi 19 janvier, d’autres rassemblements sont prévus le mardi 31 janvier en Bourgogne-Franche-Comté.
Après une mobilisation de plus de 800 personnes le 19 janvier dernier, l’intersyndicale de Pontarlier appelle dans un communiqué à une deuxième journée d’action le 31 janvier avec un parcours de manifestation inédit.
Ce mercredi 25 janvier, l’intersyndicale bisontine a tenu une conférence de presse à la maison des syndicats de Besançon afin de réaffirmer sa détermination et sa mobilisation contre la réforme des retraites et les actions mises en place avant le grand rassemblement prévu le 31 janvier prochain.
Le Sénat doit voter ce mardi 24 janvier en première lecture, un projet de loi favorisant la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, étoffé de dispositions controversées, comme la suppression de l'objectif de réduction à 50% de la part du nucléaire dans le mix électrique d'ici 2035.
DÉSERTS MÉDICAUX • Le premier vol médical est parti de Dijon pour rejoindre Nevers ce jeudi 26 janvier 2023 à 8h15 avec huit médecins à son bord.
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