Les Barbiers de St Amour ou le salon "émotion"...

Publié le 03/04/2015 - 16:06
Mis à jour le 04/04/2015 - 10:58

Le salon de coiffure les Barbiers de St Amour a déménagé au 27 de l’avenue Carnot à Besançon. Un salon d’un nouveau genre puisqu’il est appelé « salon émotion ». Jean-Christophe Robelot, le gérant, nous explique ce concept… 

Jean-Christophe Robelot est coiffeur depuis 25 ans et depuis 12 ans, il ne manipule plus les têtes, mais gère plusieurs salons de coiffure dédiés à la femme et à l'homme. Pour les Barbiers de St Amour, il a décidé de créer un "salon émotion". Un nouveau concept de la coiffure où les normes sont dédiées à la femme en 2015. Pour se faire, le lieu est partagé en plusieurs zones "pour faire passer la cliente dans un parcours émotionnel qui lui permet de se souvenir du lieu dans lequel elle s'est fait coiffer" nous explique le gérant. 

Le zonage commence par l'accueil, puis une zone vernis, un rayon de vente à emporter, une zone homme, une zone diagnostique, une zone de coupe avec les miroirs. La cliente passe ensuite par une table dite "sensorielle" : pendant que la cliente se fait appliquer une couleur ou des mèches, au lieu de se regarder dans le miroir, elle teste des produits présentés sur une table prévue à cet effet. 

La zone "bac" n'est pas blanche et lumineuse, mais aux couleurs sombres et à la lumière tamisée avec des sièges massant. Toutefois, le coiffeur augmentera ou diminuera l'intensité de la lumière lorsqu'il en aura besoin. Les bacs sont également adaptables pour le coiffeur afin d'éviter des maux de dos. 

Un bar à couleurs est également visible. "Aujourd'hui, on n'a pas peur de montrer aux clientes ce qu'on fait. On ne triche pas avec la marque. Si la cliente paie pour cette marque, elle aura cette marque" précise Jean-François Robelot. 

Une cabine privée est également à disposition où la/le client(e) pourra bénéficier d'un soin personnalisé pour ses cheveux de 15 à 40 minutes, y compris pour les femmes aux cheveux très frisés ou des personnes qui, pour des raisons religieuses, n'ont pas envie de se faire coiffer par un homme.

"C'est ça le concept émotion, on coiffe toutes les femmes. Petites, grandes, blondes, brunes, on respecte tout le monde, on est apolitique, areligion…" indique le gérant.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Economie

Coupes budgétaires dans la prévention spécialisée : une mobilisation qui ne faiblit pas dans le Doubs

La mobilisation pour la défense de la prévention spécialisée dans le département du Doubs prend de l’ampleur. Selon les syndicats CGT et FO de l’ADDSEA (Association départementale pour le développement des services d’action), plus de 2.700 signatures ont été recueillies en soutien à ce secteur.

La marque Jennyfer en liquidation judiciaire, un millier d’emplois menacés

La crise des enseignes de prêt-à-porter continue: la marque tournée vers les jeunes adolescentes Jennyfer, sortie d'une période de redressement judiciaire en 2024, a finalement été placée mercredi 30 avril 2025 en liquidation judiciaire. À Besançon, une boutique est ouverte à la galerie Chateaufarine.

Le Crédit Agricole Franche-Comté soutient et valorise les actions des clubs de football de la région

Publi-info • Le vendredi 25 avril, le Crédit Agricole Franche-Comté a accueilli et récompensé 38 clubs et 46 équipes de football de Franche-Comté qui se sont distingués dans le cadre des Labels fédéraux et du programme éducatif fédéral pour leurs actions citoyennes.

Recherche d’emploi : un “PLUS” pour vous différencier…

MonJob • Lors d'un entretien d'embauche, vous êtes forcément en concurrence avec d'autres candidats et il y a de grandes chances que votre profil soit proche des leurs... Normal, vous avez tous répondu à la même offre d'emploi. Pour vous différencier, il est important de pouvoir mettre en avant un petit "plus".

Emploi : face aux difficultés de recrutement, “des solutions existent” insiste le réseau pour l’emploi

Ce mardi 29 avril 2025, plusieurs représentants issus du réseau pour l’emploi composé du Département du Doubs, de Grand Besançon Métropole, de France Travail, Cap Emploi et de la mission locale du bassin d’emploi de Besançon ont donné une conférence de presse commune afin de présenter les résultats de l’enquête "Besoins en main-d’oeuvre 2025" (BME 2025) réalisée par France Travail.

Sondage : êtes-vous pour ou contre l’ouverture des boulangeries le 1er mai ?

En France, l’activité des boulangers n’étant pas considérée comme "essentielle", la loi leur interdit d’ouvrir le 1er mai. L’actualité a d’ailleurs récemment mis en lumière plusieurs boulangers vendéens qui ont dû faire face à la justice pour avoir ouvert leur commerce à cette date. Or, des sénateurs centristes, appuyés par le gouvernement, veulent assouplir les règles encadrant le travail lors de ce jour chômé, en particulier pour les boulangers. Et vous, êtes-vous pour ou contre l’ouverture des boulangeries le 1er mai ? C’est notre sondage de la semaine. 

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 14.23
légère pluie
le 03/05 à 06h00
Vent
2.98 m/s
Pression
1015 hPa
Humidité
87 %