Pour rappel, le docteur Péchier de Besançon est mis en examen pour 24 empoisonnements présumés, dont 9 mortels.
"Préserver la relation de confiance entre patients et médecins"
Le SNARF « tient à rappeler" que dans cette affaire, "les événements indésirables graves supposés être des empoisonnements volontaires (...) sont des faits criminels et sont totalement indépendants de l’exercice de la profession d’anesthésiste-réanimateur. »
Il se porte ainsi partie civile « afin de pouvoir défendre les droits et intérêts matériels et moraux de la spécialité en préservant la nécessaire relation de confiance entre patients et médecins anesthésistes-réanimateurs d’ores et déjà mise à mal par l’importante médiatisation de cette affaire »
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