Devenu "le premier festival d’humour de France", Drôlement Bien poursuit son développement. L’édition lyonnaise marquera une première délocalisation majeure pour ce rendez-vous qui a conquis le public et les artistes. Pendant quatre jours, le festival investira la métropole lyonnaise pour célébrer l’humour sous toutes ses formes, tout en conservant ce qui fait son identité, nous dit-on.
Le modèle bisontin, pilier de l’expansion
Fidèle à ses origines, Drôlement Bien revendique la force du modèle imaginé à Besançon, un format associant têtes d’affiche, jeunes talents et actions sociales. Le communiqué rappelle que "le modèle bisontin, basé sur un mélange audacieux de têtes d’affiche, d’artistes émergents et un fort volet social, sera la base de cette expansion".
Le fondateur du festival, Hamid Asseila, insiste sur l’importance de ces racines, "en 2023, la première édition a vu le jour portée par une conviction simple : l’humour est une force qui rassemble, qui soigne et qui crée du lien social. Besançon est le cœur vibrant de cette idée. En lançant Drôlement Bien Lyon en 2027, nous faisons le pari d’un festival qui voyage sans se dénaturer... toujours avec la même promesse : faire du bien, drôlement bien."
Pour cette première édition lyonnaise, le festival annonce une implantation d’envergure : neuf salles investies et 35 à 40 spectacles programmés, dans une démarche fidèle à son ADN de festival accessible. La promesse est résumée dans son slogan : "Rire ensemble, c’est Drôlement Bien".
Une alliance de compétences pour porter le projet
Pour réussir son arrivée dans la capitale des Gaules, Hamid Asseila, directeur de NG Productions, s’associe à plusieurs figures reconnues du spectacle vivant. Le communiqué cite notamment Bernard Brajoux, directeur des Derniers Couchés, organisateur de spectacles à Lyon depuis 2007, ainsi que Fanny Delacroix, directrice artistique du festival des Fous Rires de Bordeaux et directrice de 1.618 Production. Cette alliance vise à adapter au territoire lyonnais un événement désormais bien implanté dans le paysage humoristique français, sans perdre l’esprit qui fait sa singularité.


