Les arrêtés ont été pris cette semaine après le rapport d’une étude géotechnique le préconisant précise la CCLL. "L’état actuel de la roche, sa fragilité et les aléas éventuels qui en découlent sur certains tronçons ne permettent pas de garantir la sécurité des usagers des via ferrata et de leurs chemins d’accès" souligne la communauté de communes qui ajoute que les usagers pourraient être "exposés à des risques de chutes de pierres et de blocs".
Un calendrier d'intervention encore inconnu
Consciente qu’il s’agit là d’une "prise de décision radicale mais nécessaire", la CCLL dit mesurer tout à fait "l’impact de ces arrêtés sur les acteurs du tourisme locaux", mais estime que "la sécurité prime et relève de notre responsabilité à tous".
Elle assure que tout est actuellement mis en œuvre pour corriger ces risques, "au moins sur certains tronçons, pour permettre un accès restreint mais sécurisé aux usagers le plus rapidement possible". Il est néanmoins précisé que le calendrier d’intervention n’est pas encore connu en raison de l’attente des réponses des entreprises sollicitées pour les travaux de purge et d’aménagement. Une communication sera néanmoins faite sur l’avancée du dossier sur les médias de la CCLL nous est-il enfin précisé.