Les patrouilleurs Aprr ont alerté le centre Athénas de soins aux animaux sauvages qui estime que "l'A39 et la LGV constituent en effet un double verrou quasiment infranchissable, et en l’absence de mesures adaptées, tous les subadultes en dispersion vers la Bourgogne pourraient bien connaitre le même sort".
La présence de cette femelle subadulte dans ce secteur correspondait à l'une des données les plus occidentales de l'espèce et la preuve de sa possible extension vers l’Ouest si des mesures concrètes sont prises pour maintenir ou recréer des corridors biologiques.