Laurent Croizier pointe du doigt "l’inaction de la municipalité de Besançon" et "l’insécurité et la délinquance" qui "empoisonnent le quotidien des habitants et des commerçants à Battant". Il avance des témoignages d’habitants qui "éprouvent un profond sentiment d’abandon" et "appellent à l’aide". "L’État, la Police nationale, la Police municipale et la Justice doivent prendre conscience de leur détresse" précise-t-il encore dans son courrier au préfet.
Estimant que "la municipalité de Besançon reste sourde et aveugle face à leur détresse", le député a saisi le préfet du Doubs pour lui demander "de la fermeté et de frapper fort contre l’insécurité".