Pour ces associations, lancer les travaux préparatoires à l’arrivée du tram avant même la signature de la Déclaration d’Utilité Publique (DUP) revient « à spéculer avec l’argent des habitants sur un événement aléatoire. Cela fait prendre le risque aux contribuables de devoir rembourser les concessionnaires pour tous ces travaux si jamais la DUP n’est pas signée ».
Les demandeurs sont particulièrement confiants dans l’issue de cette procédure vues les récentes décisions des TA de Nîmes et de Toulouse qui n’ont pas hésité à stopper brutalement les projets de tram de ces deux villes quand bien même la DUP était déjà signée.
« Désormais l'avenir du tram n'est plus dans les mains de JLF, ni dans celles du préfet mais dans celles de la Justice », conclut un communiqué.