Depuis, la société "n’a cessé d’innover aux côtés des meilleurs grimpeurs, ingénieurs et designers pour concevoir des structures toujours plus performantes, sûres et créatives", souligne le communiqué du groupe Abéo. Parmi ses réalisations, figurent les premières prises en béton de résine, les dalles 3D brevetées et les parcours Clip ’n Climb.
En rejoignant le groupe Abéo en 2002, EP Climbing a accéléré son développement et renforcé son rayonnement international. Aujourd’hui, l’entreprise emploie près de 170 collaborateurs, dont une cinquantaine en Auvergne-Rhône-Alpes, et a installé plusieurs milliers de murs d’escalade dans plus de 40 pays.
Une organisation adaptée à un marché en mutation
Face à la diversification des pratiques – compétition, loisirs, sport-santé, installations publiques –, EP Climbing ajuste son modèle. "Célébrer 40 ans d’EP, c’est à la fois un moment de fierté et un point de départ. L’escalade est en pleine transformation : plus accessible, plus internationale, plus structurée. Nous avons donc adapté notre modèle pour rester pionniers dans un monde qui change", explique Damien Tatangelo, directeur général de l’entreprise.
L’escalade olympique comme vitrine internationale
Fournisseur officiel de la Fédération internationale d’escalade (IFSC) depuis 2007, EP Climbing équipe les grandes compétitions internationales, dont les Jeux olympiques. Après Tokyo 2020 et Paris 2024, la société prépare déjà les structures pour Los Angeles 2028, marquées par l’intégration du paraclimbing. Une étape jugée décisive pour "diffuser la pratique et ses valeurs auprès d’un public toujours plus large".
Une stratégie tournée vers la durabilité et l’inclusion
L’entreprise affirme inscrire sa démarche dans une logique de responsabilité sociétale : éco-conception des produits, réduction de l’empreinte carbone, inclusion et partenariats locaux. Une équipe R&D travaille notamment sur la prolongation de la durée de vie des équipements et le développement d’outils comme une calculatrice carbone destinée à "aider les acteurs du marché à mieux mesurer, comprendre et réduire leurs impacts”, précise Abéo.