L’accusé, seul à ne pas être témoin de Jéhovah, reconnait les
attouchements sexuels mais nie les viols. L’avocat de la défense s’appuie sur
les examens gynécologiques attestant la virginité des jeunes filles quatre ans
avant qu’elles les deux jeunes femmes ne révèlent l’affaire en 1999. Des
examens dont la fiabilité a été nuancée par un expert
Le père, mécanicien de précision, écope de 10 ans de
réclusion conformément aux réquisitions du ministère public.