La seconde édition des "livres dans la Boucle" entre dans l'histoire...

Publié le 17/09/2017 - 14:02
Mis à jour le 18/04/2019 - 12:02

Il y avait foule ce samedi au centre-ville de Besançon. On a même assisté à une file d’attente à l’entrée du chapiteau de la place de la Révolution avec des lecteurs pressé d’aller à la rencontre des 200 auteurs présents. La seconde édition du festival « Livres dans la Boucle se poursuit » ce dimanche 17 septembre jusqu’à 18h avec notamment une lecture musicale au Scénacle avec Clotilde Coureau.  Dans les allées, sous le chapiteau de la place de la Révolution, voici quelques réactions… 

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belle afluence

Voici le programme d'animation ce dimanche après-midi

Rencontre : à l’aventure !

 Avec Miguel Bonnefoy, Sucre noir (Rivages), Arnaud de La Grange, Les vents noirs (JC Lattès) et Morgan Sportès, Le ciel ne parle pas (Fayard). Animée par Christine Ferniot

Dans ce roman aux allures de conte philosophique, inspiré du réalisme magique des écrivains sud-américains, Miguel Bonnefoy (Le voyage d’Octavio) réinvente la légende de l’un des plus célèbres corsaires pour nous raconter le destin d’hommes et de femmes guidés par la quête de l’amour et contrariés par les caprices de la fortune. Arnaud de La Grange signe un premier roman au souffle épique. Une réflexion sur les blessures intimes des histoires familiales et de la guerre, sur l’inadaptation de certains hommes à la vie ordinaire, sur le rêve, l’obsession et la folie humaine. Avec ce roman "historique" plein de noire ironie, Morgan Sportès nous tend une sorte de miroir où, à trois siècles de distance, se reflètent d’Orient en Occident les mêmes problématiques : Dieu, l’argent, le choc des civilisations, la liberté de commercer et de circuler…

Café Littéraire, place de la Révolution de 14h30 à 15h00

Rencontre : Face à l’Histoire

Avec Olivier Guez, La disparition de Josef Mengele (Grasset), Sébastien Spitzer, Ces rêves qu’on piétine (Éditions de l’Observatoire) et Éric Vuillard, L’ordre du jour (Actes Sud). Animée par Kerenn Elkaïm

Le roman d’Olivier Guez La disparition de Josef Mengele, l’ancien médecin tortionnaire à Auschwitz, est une plongée inouïe au coeur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, l’argent et l’ambition. Sous les bombardements, dans Berlin assiégé, la femme la plus puissante du IIIe Reich se terre avec ses six enfants dans le dernier refuge des dignitaires de l’Allemagne nazie. Aux dernières heures du funeste régime, Magda Goebbels s’enfonce dans l’abîme, avec ses secrets. Un premier roman par Sébastien Spitzer. L’ordre du jour est une démonstration magistrale des coulisses de l’Anschluss par Éric Vuillard, l’auteur de Tristesse de la terre. Un livre magnifique, décrivant la mécanique politique et psychologique portée par Hitler et l’enchaînement menant à la dictature nazie.

Maison de Victor Hugo de 14h3 à 15h30

Carte Blanche : L’univers de Sorj Chaladon

Avec Sorj Chalandon, Le jour d’avant (Grasset). Animée par Antoine Boussin

Prix Albert-Londres en 1988 pour son reportage sur le procès Klaus Barbie, grand reporter à Libération pendant 34 ans, Sorj Chalandon est aujourd’hui l’une des plumes du Canard enchaîné. Journaliste donc mais aussi auteur de sept romans, tous parus chez Grasset. Parmi eux, Une promesse, prix Médicis, Retour à Killybegs, grand prix du roman de l’Académie française et Le Quatrième Mur, prix Goncourt des lycéens. Qu’il écrive sur les conflits politiques ou sur le grisou qui tua 42 mineurs à Liévin-Lens dans les années 70 – sujet du Jour d’avant, son dernier roman -, Sorj Chalandon s’appuie sur une réalité douloureuse. De l’émotion mais pas de pathos. Sorj Chalandon ne fait pas de manières : son écriture fluide et directe va droit au coeur.

Cinéma des Beaux-Arts de 14h30 à 16h30

Lecture : Arrêtes tes mensonges

 Lecture par Philippe Besson, "Arrête avec tes mensonges" (Julliard) et Solal Forte.

"Quand j’étais enfant, ma mère ne cessait de me répéter : “Arrête avec tes mensonges“ J’inventais si bien les histoires, paraît-il, qu’elle ne savait plus démêler le vrai du faux. J’ai fini par en faire un métier, je suis devenu romancier. Aujourd’hui, voilà que j’obéis enfin à ma mère : je dis la vérité. Pour la première fois. Dans ce livre. Autant prévenir d’emblée : pas de règlement de comptes, pas de violence, pas de névrose familiale.Mais un amour, quand même. Un amour immense et tenu secret. Qui a fini par me rattraper".

Avec son récit autobiographique "Arrête avec tes mensonges", Philippe Besson signe l’un des grands succès littéraires de l’année. Avec le comédien Solal Forte, il en propose une lecture à deux voix.

Le Scénacle de 14h45 à 15h45

Rencontre : Scènes de crime au Louvres

Avec Christos Markogiannakis, Scènes de crime au Louvre (Le Passage). Animée par Marie-Ange Pinelli

En appliquant les principes de la criminologie et de l’histoire de l’art, Scènes de crime au Louvre se propose d’étudier et d’interpréter d’une trentaine d’oeuvres d’art – des amphores de la Grèce ancienne aux peintures françaises du XIXe siècle, des toiles de Rubens à celles de Delacroix, David ou Ingres – ayant une chose en commun : représenter des meurtres, qu’ils soient mythologiques ou historiques, leurs protagonistes, leurs histoires. Chaque oeuvre est traitée comme une scène de crime et donne lieu à une enquête fouillée s’inspirant des principes judiciaires et médico-légaux. Avocat pénaliste, Christos Markogiannakis a étudié le droit et la criminologie à Athènes et à Paris. Également auteur de romans policiers, il réside aujourd’hui en France et effectue un travail de recherche sur la représentation du meurtre dans l’art.

Hôpital Saint-Jacques de 14h45 à 15h30

Rencontre : Une vie violente

 Avec Aurélien Delsaux, Sangliers (Albin Michel), Thomas Flahaut, Ostwald (L’Olivier) et Ariane Monnier, Le presbytère (JC Lattès). Animée par Alex Mathiot (Radio Shalom)

Les Feuges : hameau d’un village entre le Rhône et les Alpes. De ce coin de terre à la croisée des mondes paysan et péri-urbain, des déclassés des laissés-pour-compte et des néoruraux, Sangliers d’Aurélien Delsaux est une épopée puissante, âpre et lyrique, sombre et violente, tragique et universelle. Confrontés aux fantômes du passé, deux frères, fuyant une catastrophe à Fessenheim, doivent s’inventer un avenir. Thomas Flahaut signe avec Ostwald un premier roman en forme d’errance dans un paysage alsacien dévasté comme le délitement des liens sociaux et d’une certaine culture ouvrière. Dans un récit glaçant, Ariane Monnier met en scène des notables provinciaux qui piègent leurs enfants dans leur demeure, un ancien presbytère. Pantins impuissants soumis aux coups de leur père et à des exigences de plus en plus humiliantes, ils apprennent à se taire.

Café Littéraire, place de la Révolution de 15h15 à 15h40

Rencontre : Crime Story

 Avec Sonja Delzongle, Récidive (Denoël) et Romain Slocombe, L’étoile jaune de l’inspecteur Sadorski (Robert Laffont) et Hématomes (Belfond). Animée par Christine Ferniot

Saint-Malo, hiver 2014. Sorti de prison, Erwan Kardec contemple la mer en savourant sa liberté. Il y a trente ans, il a tué sa femme à mains nues, devant leur fille, Hannah. À New York, Hannah a fait la promesse à sa mère de la venger. Sonja Delzongle signe le retour d’Hannah Baxter, la célèbre profileuse. Après le succès de L’Affaire Léon Sadorski (premier polar dans une sélection Goncourt), Romain Slocombe propose une nouvelle enquête du sinistre et fascinant inspecteur des Renseignements généraux. Publié au début de l’année, son recueil de nouvelles nous replonge dans des abîmes de noirceur. Une seule règle ici : les histoires courtes finissent toujours mal…

Hôpital Saint-Jacques de 15h30 à 16h10

Lecture : Je me promets d’éclatantes revanches

 Avec Valentine Goby, "Je me promets d’éclatantes revanches" (L’Iconoclaste).

Valentine Goby est déjà une fidèle du festival Livres dans la Boucle ! Son écriture doublée de sa passion pour l’Histoire et la transmission (Kinderzimmer, Le paquebot dans les arbres, Actes Sud) font d’elle une auteure originale, sensible et résolument engagée. Elle publie en cette rentrée un hommage à la résistante Charlotte Delbo. Je me promets d’éclatantes revanches est le récit intime de sa rencontre posthume avec la poète résistante et déportée Charlotte Delbo, un véritable choc littéraire et émotionnel. Cet essai relate, d’un côté, la découverte par la lectrice qu’est Valentine Goby d’une langue incandescente ; de l’autre, une réflexion de l’auteur sur le pouvoir curateur de l’écriture : des mots pour dire l’indicible et faire revenir d’entre les morts. Et des romans et des poèmes pour dire une foi inflexible en la vie et le pouvoir de l’art.

Cinéma des Beaux-Arts de 15h30 à 16h15

Rencontre : L’Esprit des lieux

 Avec Ariane Bois, Dakota Song (Belfond), Adrien Goetz, Villa Kérylos (Grasset) et Gaëlle Nohant, Légende d’un dormeur éveillé (Héloïse d’Ormesson) Animée par Antoine Boussin

Dakota Song d’Ariane Bois est le portrait survolté d’une Amérique en pleine révolution artistique, intellectuelle et sexuelle, celle de la Beatlemania, du Studio 54 de Warhol, du scandale du Watergate et d’une décennie de violences. La Villa Kérylos, au coeur du dernier livre d’Adrien Goetz, est une célèbre maison de la Côte d’Azur, construite au début du XXe siècle par Théodore Reinach. Avec ses frères Joseph et Salomon, il a fait de cette maison la caverne aux trésors de l’érudition française. Elle a permis à Achille, le fils de la cuisinière de leurs voisins, les Eiffel, de sortir de son milieu. Dans son grand âge, il revient à Kérylos. Robert Desnos a vécu mille vies – écrivain, critique de cinéma, chroniqueur radio, résistant de la première heure –, sans jamais se départir de sa soif de liberté. Dans Légende d’un dormeur éveillé, Gaëlle Nohant révèle le héros irrésistible et ressuscite une époque tumultueuse, des années folles à l’Occupation.

Maison de Victor Hugo de 15h45 à 16h45

Rencontre : Des hommes simples

Avec Jean-Baptiste Andrea, Ma reine (L’Iconoclaste), Gilles Marchand, Un funambule sur le sable (Aux forges de Vulcain) et Sébastien Ménestrier, Le suivant (Buchet-Chastel). Animée par Kerenn Elkaïm

Shell vit seul avec ses parents dans une stationservice. Après avoir manqué de mettre le feu à la garrigue, ses parents décident de le placer dans un institut. Jean-Baptiste Andrea livre une véritable ode à la liberté, à l’imaginaire et à la différence. Stradi, le héros de Gilles Marchand, naît avec un violon dans le crâne. À l’école, il va souffrir de la maladresse ou de l’ignorance des adultes et des enfants. À ces maux, il va opposer son optimisme invincible, héritage de ses parents. Et son violon s’avère être un atout qui lui permet de rêver et d’espérer…

Russie, années 1950. Aliocha, jeune homme désoeuvré, est envoyé en camp de travail. Là-bas, il est subjugué par « le garçon », charismatique et déterminé. Sébastien Ménestrier nous plonge dans la destinée d’un personnage humble et tenace, qui cherche comment habiter le monde.

Café littéraire, place de la Révolution de 16h00 à 16h35

Rencontre : Romans sombres

Avec Frédéric Arnoux, Cowboy light (Buchet-Chastel) et David Humbert, Karst (Liana Levi). Animée par Marie-Ange Pinelli

Ils sont l’un et l’autre originaires de Franche- Comté. Est-ce au coeur de ce pays qu’ils ont trouvé l’inspiration de leurs romans noirs ? Une rencontre aux accents comtois. Un quartier pavillonnaire de Besançon, tout près de l’usine Lip alors à l’abandon, un dealer raté et deux ferrailleurs… Cowboy light de Frédéric Arnoux est un roman noir au style trash mais léché, qui évoque avec humour l’ennui d’une province dans les années 80. Trop curieux, trop honnête. Pour le lieutenant Paul Kubler, la sanction est un aller simple Paris-Rouen, avec affectation dans un commissariat de quartier. Un matin, les robinets des Rouennais commencent à crachoter de l’eau de toutes les couleurs. Quelqu’un pollue les sources. Le premier roman policier de David Humbert.

Hôpital Saint-Jacques de 16h15 à 17h00

Lecture : l’invention des corps

Avec Pierre Ducrozet, L’invention des corps (Actes Sud).

Il est des écrivains les plus inventifs de sa génération. Son roman Eroica publié en 2015 en avait déjà marqué plus d’un. Pierre Ducrozet nous revient avec L’invention des corps, un livre déjà remarqué par de nombreux critiques et prix littéraires. Rescapé du massacre d’Iguala, le jeune Alvaro se retrouve entre les mains d’un gourou de la Silicon Valley, versé dans le transhumanisme. Informatique et génétique nourrissent ce récit tissé en réseau, un thriller ultra-moderne, documenté et rythmé. Avec L’Invention des corps, Pierre Ducrozet écrit un pur roman du XXIe siècle. À 35 ans, Pierre Ducrozet est l’auteur de quatre romans publiés chez Grasset, parmi lesquels Requiem pour Lola rouge et Eroica, fiction biographique autour de Jean-Michel Basquiat.

Le Scénacle de 16h30 à 17h15

Rencontre : Nouvelle Vague

Avec Clément Bénech, Un amour d’espion (Flammarion), François-Henri Désérable, Un certain monsieur Piekielny (Gallimard), Arthur Dreyfus, Sans Véronique (Gallimard) et Victor Pouchet, Pourquoi les oiseaux meurent (Finitude). Animée par Christine Ferniot

Quatre garçons dans le vent, parmi les plus talentueux de leur génération. Dans Un amour d’espion, Clément Bénech pose un regard plein d’esprit et de malice sur les rencontres sentimentales à l’ère de l’espionnage amoureux. À tout juste 30 ans, François-Henri Désérable est l’auteur remarqué de Tu montreras ma tête au peuple et d’Évariste. Un certain M. Piekielny, "brillante digression sur Romain Gary", selon Le Figaro est un des romans phares de cette rentrée. Avec Sans Véronique, Arthur Dreyfus (30 ans, et déjà trois romans dont Belle famille) mêle plusieurs destins et plusieurs histoires, avec en toile de fond, l’attentat de Sousse (Tunisie). Il a plu des oiseaux en Haute-Normandie et manifestement tout le monde s’en fiche. Victor Pouchet signe un premier roman malicieux en forme de river-trip normand.

Cinéma des Beaux-Arts de 16h30 à 17h30

Rencontre: À la vie, à l’amour

Avec Laurent Bénégui, La part des anges (Julliard) et Stéphane Jougla, Gabrielle ou le jardin retrouvé (Denoël). Animée par Antoine Boussin

Deux beaux romans de cette rentrée littéraire qui passent du deuil à la vie et ne manquent pas de nous raconter de belles histoires pour combattre le chagrin. Un remède à la mélancolie !
Écrire sur le deuil avec humour et légèreté, sans pour autant négliger la profondeur des émotions, c’est le pari réussi de Laurent Bénégui dans ce texte qui compose un émouvant éloge de la figure maternelle tout en célébrant les plaisirs de l’existence. Gabrielle ou le jardin retrouvé est un savoureux mélange de fantaisie, de mélancolie et d’optimisme avec lequel Stéphane Jougla nous rappelle que les êtres chers restent à tout jamais vivants dans le coeur de ceux qui les aiment. Un hymne à la solidarité et à l’entraide.

Maison de Victor Hugo de 17h00 à 17h45

Lecture musicale : Il était un piano noir

Lecture de Il était un piano noir… de Barbara par Clotilde Courau accompagnée par Lionel Suarez.

"Plus jamais je ne rentrerai en scène. Je ne chanterai jamais plus… Un soir de 1993, au Châtelet, mon coeur, trop lourd de tant l’émotion, a brusquement battu trop vite et trop fort, et, durant l’interminable espace de quelques secondes où personne, j’en suis sûre, ne s’est aperçu de rien, mon corps a refusé d’obéir à un cerveau qui, d’ailleurs, ne commandait plus rien. J’ai gardé, rivée en moi, cette panique fulgurante pendant laquelle je suis restée figée, affolée, perdue. J’ai dû interrompre le spectacle pendant quelque temps, puis définitivement… Durant deux ans, j’ai fait le deuil d’une partie de ma vie qui venait brusquement de se terminer. Écrire, aujourd’hui, est un moyen de continuer le dialogue". Barbara, 27 avril 1997

Accompagnée à l’accordéon par Lionel Suarez, Clotilde Courau prête sa voix à l’autoportrait d’une femme rebelle, artiste solitaire adulée par ses fans.

Le Scénacle de 18h30 à 19h30


Livres dans la Boucle :

Du vendredi 15 au dimanche 17 septembre 2017, place de la Révolution à Besançon, entrée libre.

Horaires :  dimanche : 10h-18h

Accès :

  • tram : ligne 1 et 2 > arrêt Révolution
  • Bus : lignes 3,4, 10, 11, 21, 27 > arrêt 8 Septembre
  • parkings : Beaux-Arts, Pasteur

Téléphone : 03.81.87.88.80

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